Lors de la visite détaillée avant son achat, le Corsaire qui s'appelait alors L'Arverne et qui s'appellera désormais La Licorne (une idée de P), présentait plutôt bien et semblait bien entretenu.
Le vendeur, super sympathique mais apparemment pas marin dans l'âme (ni menuisier ou peintre comme le suppose la possession d'un bateau en contre-plaqué) a fait faire pas mal de travaux par des chantiers navals, factures (salées) à l'appui.
Je ne cite pas ces chantiers pour des raisons qui vous seront évidentes lorsque j'attaquerai la bête et vous montrerai les dessous de l'histoire, partie par partie du bateau (les sous-onglets de cette page).
Le vendeur m'a autorisé à visiter longuement le bateau, seul et sans pression de sa part. J'ai donc ouvert les coffres, retiré les flottaisons, inspecté les fonds et plus particulièrement les points sensibles du Corsaire (puit de dérive, tableau AR, cadènes et environs, passages et fixations de l'accastillage ...). Je n'ai donc absolument rien à lui reprocher, de toutes façons vu le prix dérisoire du bateau, il aurait pu être dans n'importe quel état pour ce prix, je pense malgré tout avoir fait une bonne affaire.
Etat initial : Première visite et état au démontage
Renovation de La Licorne.
Un Corsaire Amiguet de 1968 (ex L'Arverne)
Copyright © La Licorne Décembre 2014